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Présentation

  • : Le blog Fresita Roja par : Dominique
  • : Avec beaucoup de bonne humeur, je vous parlerai de mes passions : le point de croix, mes lectures, mes aquarelles.
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Qui Suis-Je

  • Fresita Roja de Los Andes
  •  Je me passionne pour tous les loisirs créatifs. J'adore le point de croix, l'encadrement, l'aquarelle et la cuisine.
A travers ce blog nous partagerons mes passions.
  • Je me passionne pour tous les loisirs créatifs. J'adore le point de croix, l'encadrement, l'aquarelle et la cuisine. A travers ce blog nous partagerons mes passions.

Bonjour

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C'est avec grand plaisir que je vous accueille sur mon blog .J'ai envie de partager avec vous  des petites croix, des lectures, des aquarelles, des paysages, de la gourmandise mais surtout des moments de bonheur.

Après 7 ans d'absence sur ce blog, je vais essayer de reprendre les guides mais surtout le dépoussiérer. Retrouver comment ça fonctionne, je ferai peut être appel à vous.

Durant ces sept années beaucoup de choses se sont passées, j'ai quitté le Vénézuela, je suis devenue grand mère de deux charmants petits enfants qui sont toute ma joie.


Vous serez toujours les bienvenus, la porte reste grande ouverte.
Prenez quelques minutes pour déposer des petits commentaires, c'est tellement agréable de vous lire !

 

Fresita roja

 

 

 

   
 

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15 novembre 2006 3 15 /11 /novembre /2006 15:20
QU'EST CE QUE TU VOULAIS DIRE .. BANABAR

 

Cette gamine assise en pleurs
Que chagrinent de trop grands malheurs,
Les grandes s'amusent sans elle,
Exclue de la bande, elle reste toute seule.
Une qui commande, des favorites,
Il parait qu'elle est trop petite,
A la marelle y'a des V.I.P.,
Dans les maternelles comme en boîte de nuit.
Mais faut pas pleurer,
Ca va s'arranger...

Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Est-ce que tu voulais que j'lui dise, que ça ne f'ra qu'empirer ?

Le plus triste, le plus dommage,
Elle le sait pas et c'est de son âge,
Mais elle-même un jour elle fermera sa porte
Quand à son tour elle sera la plus forte...
Ce garçon assis dans un coin,
Quinze ans, la tête dans les mains,
Premier amour, premier chagrin,
Comme le shampoing, la formule deux en un.
Il a beau dire que c'est pas grave,
Jouer les hommes, faire le brave,
La savoir dans les bras d'un autre,
Ca lui brise le coeur, ça lui ronge le ventre...
Mais faut pas pleurer,
Ca va s'arranger...

Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Est-ce que tu voulais que j'lui dise, que ça ne f'ra qu'empirer ?

Qu'il a pas fini de pleurer,
Qu'la leçon n'est jamais apprise,
Mais si ça peut le rassurer,
Lui-même un jour fera sa valise.
Cette femme qui cache ses pleurs, le café coule dans la cuisine,
Son patron n'était pas fier, faut dégraisser, drôle de régime.
Chemise cartonnée, demandes de formations,
Dossiers bien classés, lettres de motivation,
D'un geste elle balaye
De tristesse et de rage
Les fiches de paye,
Les demandes de stages.

Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ?

Puisqu'elle savait déjà,
Elle le savait mieux que moi,
Que ça ne va jamais s'arranger,
Que ça ne f'ra jamais qu'empirer.
Ce vieil homme fatigué d'Algérie,
Qui regrette son Maghreb jour et nuit,
Tout juste toléré aujourd'hui,
Faut dire qu' ça fait que trente ans qu'il est ici.
Qu'il ne sera jamais propriétaire,
Qu'il occupe une chambre de bonne,
Au pays de Voltaire,
Au pays des lumières et des droits de l'homme.
Ce sans-papiers rejeté qui repart,
Sans même dire au revoir,
Sans nous dire merci
Pour le billet de charter gratuit vers la misère de son pays.
Ca le soulagera sûrement d'apprendre, et faudrait quand même pas qu'il oublie
Qu'on a gravé Fraternité sur le fronton de nos mairies.
Ce taulard emprisonné dans une cellule à six,
Il devrait en profiter parce que bientôt ils seront dix.
Ce malheureux qui dort sur une ventilation de métro,
Il s'en fout de savoir que je le chante pas assez fort et beaucoup trop faux.

Qu'est ce que tu voulais qu'ils me disent ?

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15 novembre 2006 3 15 /11 /novembre /2006 15:18

J'ai fait un doux rêve
Où tu venais me retrouver.
Ta bouche si tendre
Venait déposer sur mes lèvres
Un doux baiser,


Tes mains si parfaites
Caressaient mon visage,
Tu fermais les yeux
Pour ancrer en ton souvenir
Mon image...

J'ai pris tendrement ta main
Et je l'ai placé sur Mon coeur
Je sentais les battements puissants
Qui faisaient vibrer
Tout mon corps.


Ta peau était si douce
Que mes mains ne pouvaient
S'empêcher de la toucher,
Ton regard était si profond
Que mes yeux éblouis
Par tant de beauté
Se perdaient dans les profondeurs
De ton être si parfait.
Je t'avais enfin retrouvé
Toi Mon Amour tant recherché...

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15 novembre 2006 3 15 /11 /novembre /2006 15:15

 

 

Tu t'aproche doucement
tel un petit felin
tu depose sur mon cou
un baiser tendre et chaleureux

Je ne retourne vers toi
tu est la devant moi
tes yeux brillent intensement
dans mes cheveux tu glisses tes mains

Ton regard me desarme
ma bouche te supplie
que tes levres pleines de charme
viennent accomplir mes envies

Tel un soleil tu parcours
de tes mains de velours
mon corps en moi
qui n'attend plus que toi 

A toi je m'abandonne
entre nous pas de tabou
je prends ce que tu me donnes
et je te donne tout

Bah ca si c'est pas aimé ¡¡¡
nous corps unis
s'emportent vers l'infinit
le desir nous fait voyager
au pays des nuits prohibé

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15 novembre 2006 3 15 /11 /novembre /2006 14:53
les paroles d'une chanson de Léo Ferré - paroles intemporelles qui jamais ne vieilliront
 
Avec le temps,
avec le temps va, tout s'en va
on oublie le visage et l'on oublie la voix.
Le coeur, quand ça bat plus,
c'est pas la peine d'aller chercher plus loin,
faut laisser faire et c'est très bien.

Avec le temps,
avec le temps va, tout s'en va
l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie,
l'autre qu'on devinait au détour d'un regard
entre les mots, entre les lignes et sous le fard
d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit.
Avec le temps, tout s'évanouit.

Avec le temps,
avec le temps va, tout s'en va
même les plus chouettes souvenirs ça t'a une de ces gueules
à la galerie j'farfouille dans les rayons d'la mort
le samedi soir quand la tendresse s'en va toute seule.

Avec le temps,
avec le temps va, tout s'en va
l'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien,
l'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux
pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous,
devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens
avec le temps va, tout va bien.

Avec le temps,
avec le temps va, tout s'en va
on oublie les passions et l'on oublie les voix
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
ne rentre pas trop tard surtout, ne prends pas froid

Avec le temps,
avec le temps va, tout s'en va
et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
et l'on se sent floué par les années perdues !
Alors vraiment,
avec le temps, on n'aime plus.
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14 novembre 2006 2 14 /11 /novembre /2006 16:15
BLAGUES AH AH AH ¡¡¡

 
Anti-femmes : Gigolo
Dans une soirée-cocktail très chic, une jeune femme danse un slow langoureux avec un play-boy de la Jet-set. Elle le drague ouvertement :
- Cher ami, que pensez-vous de ma robe ? Le décolleté nest-il pas un peu trop prononcé ?
Et le gigolo lui répond :
- Avez-vous du poil sur la poitrine ?
- Bien sûr que non !
Lui répond la jeune femme.
- Alors je crois que votre décolleté est trop profond... 

Administration : Impôts
Un type est convoqué au centre des impôts pour repondre à des questions concernant sa situation fiscale. Sa femme lui conseille de porter des vêtements troués et des chaussures usées.
- Laisse-leur penser que tu es pauvre !

Fort de ce conseil, il demande ensuite a son avocat comment il doit se vetir :
- Ne vous laissez pas intimider ! Portez votre meilleur costume et votre plus élégante cravate.

Notre homme est bien embarrassé. Avec tous ces conseils, il ne sait toujours pas comment s'habiller. En desespoir de cause, il va voir son rabbin. Il lui expose son cas, les 2 avis contradictoires et lui demande ce qu'il doit faire.

Le rabbin lui répond :
- Une femme, sur le point de se marier, demande à sa mère ce qu'elle doit porter pour sa nuit de noce. 'Porte une longue chemise de nuit de flanelle qui ferme jusqu'au cou, lui repond-elle'.
Mais lorsque la future mariée pose la même question à sa meilleure amie, celle-ci lui répond : 'Porte ta nuisette la plus sexy, celle avec un decolleté jusqu'au nombril'.

L'homme interrompt le rabbin :
- Qu'est-ce que tout ça a a voir avec les impôts ?
Le rabbin hoche la tête :
- Quels que soient les vêtements qu'elle porte, elle se fait baiser.... 

Nationalité : Portugais
Une Portugaise arrive au commissariat :
- bonchour, je fiens me plaindre que che meu chuis fait fioler dans le buche ...
Le policier :
- Comment? Vous vous êtes fait violer dans le bus ?
- Oui, Il y en a un qui a commenche a me carrecher, puis il a abuche de moi , et ...
- Et personne ne vous a aide dans le bus ?
- Non, les ch'autres, ils ont regarde et puis ils chont venus me fioler eux auchi !
- Tout le monde est venu vous violer ?
- Oui, tout le monde ..
- Et le chauffeur, il ...
- Oui, le chauffeur, il a partichipe auchi ..
- Mais, vous n'avez pas crie ?
- Chi, chi, ch'ai crie ...
- Et personne n'a rien fait ? Ils ont continue ?
- Oui, che vous chure, che criai : Léchez-moi, lechez-moi...
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14 novembre 2006 2 14 /11 /novembre /2006 16:05

J'avais commencé la semaine dernière par vous parler du Vénézuela et aujourd'hui, nous allons continuer la visite si vous le voulez bien . Alors ouvrez les yeux

Une maison typique

 

Canaima

Cayo sombrero

La gran sabana

Trujilo

Mérida vu du téléphérique

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13 novembre 2006 1 13 /11 /novembre /2006 18:43
Sorbets salés

 Guacamole glacé sur granité de gaspacho

Peter Lippmann/Madame Figaro

 

Pour 4 personnes

1/2 l de gaspacho bien froid - 250 g de crevettes roses cuites - 2 avocats - 1 citron jaune - 10 brins de coriandre - 1 petit piment - sel.

À faire à l'avance/Très facile. Préparation : 15 minutes.

LE GUACAMOLE : peler les avocats, mettre la chair dans le bol d’un mixer, ajouter le jus du citron, le piment, les brins de coriandre effeuillés. Saler et mixer le tout jusqu’à l’obtention d’une fine purée.

LA GLACE : faire prendre dans une sorbetière ou verser dans un récipient en plastique et placer au congélateur 1 à 2 heures en remuant régulièrement. Verser le gaspacho dans un autre récipient et placer également au congélateur.

POUR SERVIR : passer le gaspacho glacé au blender pour le réduire en granité. Répartir dans quatre coupelles, ajouter les crevettes décortiquées et poser dessus une boule de glace au guacamole.

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13 novembre 2006 1 13 /11 /novembre /2006 18:38
 
 

Soupe à l'oignon et oeufs pochés

Photo : Bernhard Winkelmann/Madame Figaro

 

Pour 4 personnes

250 g d’oignons rouges - 250 g d’oignons jaunes - 50 g de beurre - 15 g de farine - 1/2 cuillerée à café de mélange 4 épices - 1 litre de fond de veau - 4 tranches de pain aux céréales - 4 oeufs - 2 cuillerées à soupe de vinaigre - 10 brins de ciboulette - sel, fleur de sel, poivre au moulin.

Cuisson longue/Facile. Préparation : 20 minutes. Cuisson : 30 minutes environ.

LES OIGNONS : les peler et les couper en fins quartiers. Mettre 40 g de beurre à fondre dans une grande casserole puis y faire revenir les oignons durant 15 minutes à feu doux.

Saupoudrer de farine,mélanger avec une cuillère en bois et laisser cuire 5 minutes. Ajouter le mélange 4 épices et le fond de veau, mélanger. Porter à ébullition et laisser cuire 10 minutes. Goûter, ajouter du sel et du poivre si nécessaire.

LES OEUFS POCHÉS : remplir une casserole d’eau, ajouter le vinaigre et mettre sur le feu. Dès que l’eau commence à bouillir, y casser 1 oeuf puis un autre de façon qu’ils ne se touchent pas. Baisser le feupour maintenir un léger frémissement. Laisser cuire 3 minutes.

Sortir les oeufs de la casserole à l’aide d’une écumoire et les garder au chaud dans un saladier d’eau chaude. Répéter l’opération pour les 2 autres oeufs.

POUR SERVIR : tartiner les tranches de pain avec le beurre restant et les passer sous le gril. Déposer un oeuf sur chaque tranche de pain grillée.

Poivrer, saupoudrer de fleur de sel et de ciboulette ciselée, et servir avec la soupe à l’oignon bien chaude.

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13 novembre 2006 1 13 /11 /novembre /2006 18:36
  •  

Le beaujolais nouveau arrive jeudi
 

Depuis cinquante-cinq ans, le beaujolais nouveau se débouche à la mi-novembre. C’est en 1951 qu’une note des contributions indirectes a autorisé le beaujolais (ainsi que quelques bourgognes, mâcons, gaillacs, côtes-du-rhône et autres muscadets) à vendre des vins d’AOC avant le 15 décembre.

 
 

Sera-t-il bon cette fois-ci ? La question revient chaque année. Et la réponse aussi : il a un goût de banane. Au-delà de cette rapide appréciation, les réfractaires continuent de le bouder et les adeptes la tradition, de le trouver à tout le moins sympathique. Eh bien, sachez que le cru 2006 sera très bon. Un mois de juillet particulièrement chaud a permis au raisin de mûrir confortablement. Le froid et la pluie du mois d'août sont venus stopper son évolution. Le superbe mois de septembre a rattrapé le retard de croissance pris par les belles grappes de gamay. Et au final, le vin est réussi, peut-être même meilleur que le 2005, avec des arômes de fruits et de fleurs. Comme le souligne le vice-président de l'interprofession, Dominique Piron : «Le beaujolais nouveau de cette année correspond parfaitement à ce qu'on attend de ce vin : du plaisir, de la rondeur et de la convivialité.»

Parfait. Mais alors, pourquoi tord-on si volontiers du nez à l'évocation de son arrivée ? Que lui reproche-t-on au fond ? D'abord, d'être un vin de comptoir. Et qui plus est, un vin de comptoir mondial : car la (récente) tradition veut que, chaque troisième jeudi de novembre, tous les consommateurs de la planète boivent les premières gorgées du beaujolais nouveau. Jeudi dernier, 12 millions de bouteilles sur une production totale estimée entre 55 et 60 millions se sont ainsi envolées vers le Japon, très attaché à la fête. C'est là son problème. L'histoire rappelle d'ailleurs qu'à Lyon, le beaujolais (dont le cépage est le gamay) était le vin des cochers, quand «les maîtres» buvaient du pinot.

Vin de l'année, le beaujolais nouveau existe en tant que tel depuis cinquante-cinq ans. Légalement, les vins d'AOC peuvent être vendus après le 15 décembre qui suit la récolte. Mais un amendement, voté en 1951, permet à certains vins d'être mis sur le marché un mois plus tôt, soit à partir du 15 novembre. Les cafetiers affichent alors en vitrine leur célèbre «le beaujolais nouveau est arrivé», inspiré, selon l'historien Gilbert Garrier, auteur d'un livre sur le sujet (éditions Larousse), du slogan placardé au lendemain de la guerre par les commerçants, pour prévenir leurs clients que «la margarine et le savon sont arrivés».

Déjà au temps de Rome

Pour autant, personne n'a inventé le beaujolais nouveau. La célébration du vin nouveau, la course à celui qui le mettrait en vente le premier existaient déjà du temps de l'Empire romain. Pour être sûrs de n'être pas distancés par un confrère, certains cafetiers de Rome achetaient même des moûts en cours de fermentation et laissaient celle-ci se terminer dans leur cave. On ne pouvait trouver de vin plus nouveau.

D'une manière générale, on n'a pas su conserver correctement le vin avant le XVIIe siècle. Auparavant, on le buvait dès que sa fermentation alcoolique était terminée. Il restait stable jusqu'à Pâques parce qu'il faisait froid. Ensuite, avec le printemps, les fermentations pouvaient redémarrer. Souvent, c'était la fermentation malolactique (en fait une dégradation des acides) qui donnait des goûts bizarres, mais ce phénomène n'avait pas été identifié. Puis le vin se gâtait lentement dans les tonneaux. De petites «fleurs» blanches apparaissaient à sa surface et il devenait vinaigre. On le buvait encore largement coupé d'eau à l'heure des premiers foins, dès juin, avant que vienne le temps des moissons, puis celui des vendanges. Très attendu, ce vin nouveau permettait au vigneron de régler ses dettes accumulées tout au long de l'année. Dans les périodes de disette, voire de famine, sa vente sauvait le vigneron pour une année encore. Et occasionnait une joyeuse fête. Au fil du temps, la vie du beaujolais nouveau s'est raccourcie comme peau de chagrin. Il n'y a pas si longtemps, il se buvait jusqu'à Noël, puis le délai a été ramené à la fin novembre. Celui qui sera servi jeudi prochain n'attirera guère les amateurs qu'une huitaine de jours.

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13 novembre 2006 1 13 /11 /novembre /2006 18:33
 
 

Cake au poulet, roquefort et noisettes

Photos: Jacques Caillaut/Madame Figaro 
Pour 4 personnes

180 g de farine - 1 sachet de levure - 3 oeufs - 100g de gruyère râpél3cuillerées à soupe d’huile de noisette - 10 cl de lait - 50 g de noisettes décortiquées - 1 blanc de poulet - 150 g de roquefort - 1noix de beurre, sel, poivre au moulin.

Préparation rapide/Très facile. Préparation : 15 minutes. Cuisson : 45 minutes.

PRÉPARER LES INGRÉDIENTS : couper le blanc de poulet en petits dés. Concasser grossièrement les noisettes. Émietter le roquefort.

LA PATE À CAKE : casser les oeufs dans un saladier, ajouter l’huile, le lait, et fouetter. Mélanger la farine et la levure, puis verser dans le saladier tout en fouettant. Saler, poivrer, ajouter les noisettes, le poulet, le roquefort et le gruyère râpé, puis bien mélanger.

LA CUISSON : préchauffer le four à 180°C (th. 6). Beurrer un moule à cake et y verser la préparation. Enfourner pour 45 minutes. À la sortie du four, laisser refroidir puis démouler. Accompagner ce cake d’une salade d’endives assaisonnée de moutarde à l’ancienne et d’huile de noix.

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